Zouk Machine Chanteuse Morte – Loalwa Braz Vieira, la chanteuse brésilienne de La Lambada et championne du monde de tube de l’été 1989, a été retrouvée carbonisée jeudi au Brésil. Elle avait été victime d’un cabriolage orchestré par le concierge de la petite auberge où elle séjournait, à seulement 160 kilomètres de Rio de Janeiro.
Trois hommes, âgés de 18 à 23 ans, ont été arrêtés par la police et accusés d’être les meurtriers, quelques heures seulement après que son corps carbonisé ait été retrouvé dans les restes brûlés de sa voiture.
Wallace, le gardien de l’auberge de 23 ans de Paula Vieira, a d’abord été considéré comme un témoin jusqu’à ce que ses approximations l’égarent et qu’il tombe à genoux.Par la suite, les deux autres hommes ont été interpellés alors qu’ils étaient en possession de la carte bancaire et du téléphone portable de la victime.
Dans la petite ville balnéaire de Saquarema, à une centaine de kilomètres de Rio de Janeiro, où la chanteuse de 63 ans tenait une petite auberge pour touristes, son corps a été retrouvé dans le véhicule en feu mercredi soir ou jeudi matin.
Les trois hommes auraient profité des chambres vacantes et du cambrioler la nuit dernière car personne ne séjournait dans l’établissement. Loalwa Braz Vieira aurait tenté de repousser ces visiteurs avant d’être battue et emmenée dans sa propre voiture d’évanouie.
Quinze millions d’unités vendues
Ce dérapage n’aurait duré qu’un kilomètre avant que la voiture ne sorte de la route. A ce moment-là, les assaillants avaient décidé d’y mettre le feu, provoquant la mort de leur victime par empoisonnement au carbone.
Au début, la maison du chanteur a été le théâtre d’un appel nocturne aux pompiers locaux pour obtenir de l’aide. Une fois arrivés, les pompiers ont reçu un deuxième appel leur indiquant qu’une voiture était sur le point d’exploser à proximité.
En 1989, Loalwa Braz Vieira a acquis une renommée mondiale en interprétant la chanson « Chorando se foi » (« Il est parti en pleurant », ndlr) avec le groupe Kaoma, plus connu sous le nom de La Lambada.
Loalwa Braz Vieira était l’icône brésilienne de la lambada des années 1980, un genre de musique tropicale qui fusionne le carimbo, le merengue, la salsa et le zouk.Le clip exotique et sensuel qui accompagnait cette chanson à succès, qui mettait en scène un couple de Bertis Brésiliens dansant sur la plage dans un style très chaloupé et très collé-serré, a largement contribué à son succès tropical.
En plus de centaines de récompenses dans le monde et de 80 disques d’or et de platine, le tube s’est vendu à 15 millions d’exemplaires dans plus de 100 pays, selon la page officielle de Loalwa Braz.
Après le succès de Loalwa Braz en 1985 lors d’un concert au Palais des Sports de Paris, La Lambada s’est vendue à 700 000 exemplaires en France, où elle vivait depuis plusieurs années. Elle est devenue la sensation du tube de l’été et a de nouveau figuré dans une célèbre publicité d’Orangina.
Facilement blessé et en danger
C’est triste parce que c’était une femme chaleureuse et amicale, mais aussi fragile et qui avait souffert et surmonté beaucoup d’épreuves”, témoigne Ricardo Vilas, un chanteur brésilien qui avait vécu en exil en France sous la dictature militaire et l’avait rencontrée plus tard. à Paris, selon l’AFP.
Étonnamment, elle était devenue une célébrité mondiale et avait gagné beaucoup d’argent. Elle n’était pas prête pour ça. Ainsi, elle s’est retrouvée empêtrée dans des toiles complexes avec divers types de louches qui gravitaient vers sa suite. Avec l’argent de la Lambada, elle avait acheté un château, mais elle avait ensuite des problèmes avec le fisc.
Aujourd’hui encore, Ricardo Vilas, dont la générosité est légendaire, se souvient d’elle comme d’une très bonne chanteuse, une voix réelle » ; en 1997, elle a gracieusement accepté de chanter un couplet libre de la chanson “Samba e Futebol”, qu’il avait écrite et diffusée en France à l’approche de la Coupe du Monde de la FIFA 1998.
Loalwa Bras était déjà connue au Brésil avant La Lambada.Née à Rio d’un père chef d’orchestre populaire et d’une mère pianiste classique, elle a commencé sa carrière à l’âge de treize ans, gravitant vers les sonorités du jazz.
Elle avait enregistré ou partagé la scène avec Gilberto Gil, Caetano Veloso, Tima Maia, Gal Costa ou Maria Bethânia, et elle était saluée par les musiciens sacrés brésiliens.Loalwa Braz Vieira était l’icône brésilienne de la lambada des années 1980, un genre de musique tropicale qui fusionne le carimbo, le merengue, la salsa et le zouk.
Un clip exotique et sensuel mettant en scène un couple de mesetis brésiliens dansant sur la plage dans un style très chaloupé et très collé-serré a largement contribué à son succès tropical.Le succès s’est vendu à 15 millions d’exemplaires dans plus de 100 pays, a remporté des centaines de prix dans le monde entier et a récolté plus de 80 disques d’or et de platine, selon la page officielle de Loalwa Braz.
Après le succès de Loalwa Braz en 1985 lors d’un concert au Palais des Sports de Paris, La Lambada s’est vendue à 700 000 exemplaires en France, où elle a vécu quelque temps. Elle est devenue la sensation du tube de l’été et a de nouveau figuré dans une célèbre publicité d’Orangina.
Facilement blessé et en danger C’est triste parce que c’était une femme chaleureuse et amicale qui était aussi fragile et qui avait souffert et surmonté beaucoup d’épreuves”, a témoigné Ricardo Vilas, chanteur brésilien.
Étonnamment, elle était devenue une célébrité mondiale et avait gagné beaucoup d’argent. Elle n’était pas prête pour ça. Ainsi, elle s’est retrouvée empêtrée dans des toiles complexes avec divers types de louches qui gravitaient vers sa suite.
Elle avait acheté un château avec l’argent de La Lambada, mais elle avait ensuite des problèmes avec le fisc. Ricardo Vilas, dont la générosité est légendaire, se souvient d’elle comme d’une « très bonne chanteuse, une voix réelle » ; en 1997, elle a gracieusement accepté de chanter un couplet de la chanson « Samba e Futebol », qu’il avait écrite et diffusée en France à l’approche de la Coupe du Monde de la FIFA 1998.
Loalwa Bras était déjà connue au Brésil avant La Lambada. Née à Rio d’un père chef d’orchestre populaire et d’une mère pianiste classique, elle a commencé sa carrière à l’âge de treize ans, gravitant vers les sonorités du jazz.
Elle avait enregistré ou partagé la scène avec Gilberto Gil, Caetano Veloso, Tima Maia, Gal Costa ou encore Maria Bethânia, et elle était saluée par les musiciens sacrés brésiliens. Celle dont le nom de famille était “La Petite Fée” aurait eu 60 ans cette année. .
Retour sur le parcours singulier d’une artiste qui, vingt-deux ans après sa mort subite à l’âge de 39 ans, reste si chère à nos cœurs. Elle est née en Guyane. Fils d’un père météorologue martiniquais et d’une mère guyanaise, Édith est née à Cayenne le 17 novembre 1963.
La famille s’installe à Paris après avoir passé trois ans en Guyane et dix ans en Martinique, où elle chante avec le groupe de son frère lors de fêtes communautaires. Il était facile pour elle de dire qu’elle était caribéenne, mais elle se considérait également comme une citoyenne du monde ; elle aimait la Guadeloupe et a grandi à Paris.
A quatorze ans, elle découvre les studios parisiens et débute sa carrière de chanteuse professionnelle dans le groupe de son frère aîné, guitariste. Féminine, rayonnante et magnifique, la chanteuse Edith Lefel devient rapidement surnommée « La Petite Fée » en raison de son charisme naturel et de son talent.
A 20 ans, elle entame sa première tournée. Jean-Michel Cabrimol (la Mafia) et la jeune Édith (20 ans) partent en tournée aux Antilles en 1984. Un retour aux sources lui fait découvrir les musiciens de son époque, dont Simon Jurad, Jean-Philippe Marthély, Patrick Saint Eloi, Kassav’ et Malavoi, l’orchestre montréalais patrimonial de Paul Rosine depuis 1987.
Le chanteur collabore avec d’autres grands noms de la musique caribéenne dont Kassav et Zouk Machine. Elle joue également avec Philippe Lavil.4/Elle était en couple avec son producteur, Ronald Robinel. C’est en 1987 que la carrière d’Edith Lefel décolle véritablement. Collaborer avec d’autres personnalités connues, comme Ronald Robinel, la fait chuter.
Elle perfectionne ses aptitudes. C’est en se produisant avec l’orchestre patrimonial martiniquais de Malavoi et Paul Rosine que la chanteuse fait enfin connaître son nom. Elle travaillera ensuite avec Philippe Lavil sur un projet mettant en vedette d’autres grands noms de la musique antillaise, comme Kassav et Zouk Machine.
Cependant, sa relation avec Ronald Robinel va au-delà de leur seule collaboration professionnelle. L’homme qui devient son producteur et écrit plusieurs de ses chansons est aussi son compagnon constant. Ensemble, Chris et Matthieu ont un chiot. 5. Edith Piaf était une personne qui la passionnait profondément. En écoutant Brel, Aznavour, Piaf et Barbra Streisand, Édith Lefel s’est élevée dans l’univers parisien.
Au-delà des plaisanteries qu’elle racontait parfois humblement, elle souhaitait à Edith Piaf, à qui elle avait donné son prénom, une véritable passion. “En souvenir d’un cyclone qui a dévasté toute l’île, mes parents ont appelé Édith.” Avec le single « Édith Lefel chante Édith Piaf » de 1999, Édith Lefel lui rend hommage. Son interprétation de « La foul » sur un rythme de salsa se démarque particulièrement.
