Rym Momtaz Wikipédia – Résidant actuellement à Beyrouth, la journaliste française Rym Momtaz a grandi au Liban. Les conditions de vie sur le terrain, qui ne cessent d’étonner, y sont décrites. Le 1er septembre est le moment où il écrit et révise. Lors de sa visite aux Providentiels le 6 août, Emmanuel Macron a évoqué publiquement un « nouveau pacte politique » et aurait pu stopper le gouvernement libyen. Il est maintenant de retour au Liban.
C’est ce qu’avait récemment prédit Jean-Yves Le Drian : “Le risque aujourd’hui, c’est la disparition du Liban” dans son Sillage. Un mois après la spectaculaire explosion du 4 août, le pays semble encore être en état de KO.
Lors de sa visite au Liban le 1er septembre, elle accompagnera le président français et sera chargée de surveiller la politique étrangère et européenne française. Dans son article du HuffPost, Rym Momtaz décrit une classe politique prête à tout pour rester au pouvoir et affirme que le « collectif de la dépression » affecte une population qui a déjà trop enduré. L’avenir du Liban est incertain.
Le HuffPost vous demande : Quelles sont les conditions de travail à long terme ?
Ils grimacent à tout ce qu’ils font. Tout est devenu prohibitif à cause de l’hyperinflation et de la dépréciation extrême du livre libanais depuis des mois. Par exemple, des familles qui étaient autrefois considérées comme ayant un revenu décent se retrouvent désormais limitées dans leur consommation de viande. Alors que la criminalité augmente, certains vont dans les pharmacies pour acheter des canapés-culottes pour lier leurs jambes, tandis que d’autres, beaucoup plus désespérés, se suicident pour ne plus pouvoir s’occuper de leurs enfants.
L’immigration est encouragée par leurs parents pour leurs enfants adultes. Quant aux Libanais, que font-ils et quel futur envisage-ils ? En comparant ce traumatisme à d’autres, notamment à la guerre civile, comment l’a-t-il vécu ? La majorité de la population libyenne souffre d’une dépression collective résultant d’un certain nombre de défis financiers, sociaux, économiques, sanitaires, sécuritaires et politiques.
De nombreux jeunes parents sont confrontés à un choix difficile : quitter leur pays et leur famille pour un avenir meilleur, ou rester et mourir de faim, même si leurs parents les poussent à déménager.Compte tenu de l’ampleur sans précédent des destructions dans la capitale et du fait qu’au moins au moment d’écrire ces lignes, il apparaît que les dirigeants politiques ostensiblement chargés de gouverner et de préserver le pays ont été complices de l’explosion, l’explosion de le port de Beyrouth.
Même pour une population qui a connu plusieurs crises & conflits majeurs, a été un traumatisme sans précédent. Cela dit, il existe un autre secteur de l’opinion publique libyenne qui est satisfait du modèle politique actuel. Beaucoup ont été déçus peu après l’arrivée du président Macron.
En passant par plusieurs Libanés francophones, Macron semblait être un “sauveur” ou un “protecteur historique” lors de sa visite. Certains ont pu ressentir une ingérence, comme l’a déclaré à Mediapart le personnalité politique Jamil Mouawad.
En fait, plusieurs Libyens ont demandé au président Macron de les sauver de ce qu’ils considèrent comme leur corruption et leur incompétence et de les aider à se séparer de l’élite politique. Beaucoup de gens se sont sentis trahis et trompés lorsque les tractations politiques entre le président français et ces partis se sont poursuivies après sa dernière visite, et il est immédiatement devenu évident que l’un des partis au pouvoir serait le prochain Premier ministre.
Le président français, de son côté, a réitéré qu’il n’interviendrait pas et qu’il devait entamer des négociations avec l’élite politique libyenne. Tout ce qui s’est passé a fait craindre un désastre et, étymologiquement parlant, une « découverte », comme une apocalypse.
Oui, cette tragédie que le peuple libyen dénonce depuis longtemps a finalement révélé l’incompétence, l’insouciance et la corruption de l’establishment politique. Supposez-vous que cela pourrait constituer le départ d’un nouveau Liban ? Il doit y avoir quelque chose qui ressemble à « l’année zéro » du Liban.
C’est un sujet vraiment difficile et il est trop tôt pour donner une réponse sérieuse. Afin de maintenir leur emprise sur le pouvoir, les partis politiques feront tout ce qui est en leur pouvoir, ce qui est évidemment impliqué. La formation d’une alliance politique cohésive entre les groupes politiques des manifestations n’a guère réussi. Tout simplement parce que le système est brisé et aussi à cause de leurs propres divisions.
Ou bien, croient-ils qu’après toutes ces épreuves, ils resteront finalement sur la route périlleuse de « l’Orient compliqué » ? Être Libanais n’est pas sans risques, étant donné l’histoire de difficultés géopolitiques du pays. Où un pays comme l’Iran finance et arme une faction politique mieux équipée que l’armée libyenne, qui continue de mener des guerres en Syrie, au Yémen et avec Israël, sans chercher l’approbation des autres composantes libyennes.
Parmi ceux qui ont été abandonnés par le système, leurs déceptions ont atteint la communauté internationale, qui, selon eux, continuera à conclure des accords géopolitiques régionaux à leurs dépens. Il prononce un discours après avoir annoncé son retour le 1er septembre.
Le 6 août, lors d’une visite aux Providentiels, Emmanuel Macron rentre au Liban, où il annonce “un nouvel accord politique” au peuple et semble contaminer le gouvernement libyen. “Le danger aujourd’hui, c’est l’effondrement de l’Etat libyen”, a déclaré Jean-Yves Le Drian dans son discours satellite. Le pays semblait en ruines un mois après l’explosion dévastatrice du 4 août.
Si vous prêtez une attention particulière à Florence Parly, il semble presque que la France ne sera pas victime des intimidations de Trump lors de la réunion de l’OTAN en juin. Même si le président Emmanuel Macron ne salue pas le retour du président Joe Biden à la diplomatie, ce n’est pas parce qu’il n’en a pas l’intention. “Ravais”, c’est ainsi qu’elle les décrit.
Chers parents
Cependant, la France craint que cette nouvelle fête de l’amour américano-européen n’atténue la prise de conscience européenne de la nécessité de dépenser davantage dans la défense, un sujet sur lequel .C’est “la constante dans l’alliance euro-atlantique que les Européens doivent gérer eux-mêmes davantage leur sécurité”, selon un entretien du ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius cité par POLITICO.
“Le discours plutôt caustique du président Trump sur le partage des charges, il avait un ton cruel, mais il véhiculait également une vérité”, a-t-elle déclaré. C’est le seul État membre de l’UE capable de déployer des forces conventionnelles importantes dans le monde entier grâce à son siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU et à ses armes nucléaires.
Cependant, les alliés européens ont accusé Paris d’être indifférent à leurs préoccupations sécuritaires et de tenter de les utiliser comme un levier pour imposer sa position géopolitique et accroître sa puissance dans la région. Les deux critiques atlantiques considèrent les appels de la France en faveur d’une défense européenne forte comme une menace pour l’unité de l’alliance de l’OTAN.
Chers parents
Les conditions de vie au Liban ne font qu’impressionner. La journaliste politique française et experte du Moyen-Orient Rym Momtaz partage ainsi ses réflexions : Elle est chargée de superviser. Rym Momtaz, écrivant pour le Huffington Post, parle du “désespoir collectif” qui touche un peuple qui a déjà assez souffert, et prédit que la classe politique fera tout pour conserver le pouvoir.
L’avenir du Liban est en danger. Ils n’ont que la capacité d’examiner. Le dinar libyen s’est effondré de façon spectaculaire ces derniers mois, le pays est au bord de l’hyperinflation et tout est devenu prohibitif. Certaines familles de la classe moyenne ont par exemple dû réduire leur consommation de viande. Une augmentation de la délinquance s’est produite.
Pour éviter la honte de ne pas pouvoir s’occuper de leurs enfants, les plus démunis Nous n’avons d’autre choix que de dormir sur le sol des pharmacies tandis que d’autres, moins fortunés, descendent dans la rue pour éviter la honte de ne pas pouvoir subvenir aux besoins de leurs enfants. aux besoins de leurs enfants. aux exigences de leur progéniture.
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