Rima Abdul Malak Mariage – Elle a supervisé les activités de Clowns sans frontières, un organisme dont le but est d’offrir une aide psychiatrique aux enfants et aux populations victimes de catastrophes humanitaires ou se trouvant dans des situations extrêmement difficiles, de 2001 à 2006.
Elle a participé à la parution en 2003 du livre Clowns sans frontières J’ai 10 ans ainsi qu’à la planification de spectacles de soutien, notamment à l’Olympia, mettant en vedette des artistes parrains de l’association comme Matthieu Chedid. À l’invitation de Louis et Matthieu Chedid, elle participe en décembre 2013 à l’émission Vivement dimanche de Michael Drucker pour soutenir l’association.
Elle commence à travailler comme conseillère du spectacle vivant auprès de Christophe Girard en 2008, avant d’accéder au poste de directrice de cabinet en 2010. Elle organise les États généraux de la Nuit, adhérant à la position « Quand la nuit meurt en silence », et travaille sur la réforme de plusieurs théâtres et la redynamisation de leur gestion. Elle a également travaillé à l’ouverture de nouveaux équipements culturels comme le Centquatre, la Gaite-Lyrique et les maisons des pratiques artistiques amateurs.
Abdul Malak a été conseillère culturelle du maire de Paris Bertrand Delanoë de 2012 à 2014. Elle a participé à de nombreux projets de la ville, notamment la construction de bibliothèques, la Nuit Blanche, le Louxor – Palais du Cinéma, la Philharmonie ou encore l’établissement public. Paris Musées, qui regroupe quatorze des dix-sept musées parisiens.
Abdul Malak a travaillé comme attaché culturel au consulat général de France à New York de 2014 à 2018.[4] Elle encourage les traductions et les œuvres originales, ce qui contribue à diffuser la « scène française » en permettant à des artistes français de jouer aux États-Unis.
Elle a créé le festival TILT à destination du jeune public, qu’elle co-organise avec la FIAF et une dizaine de lieux partenaires en présentant des artistes américains et francophones. Elle a également participé aux festivals des Livres Albertins et à la programmation des Nuits de la Philosophie. Par ailleurs, elle a supervisé le financement de soutien de la Fondation FACE (Patrimoine Culturel Franco-Américain) au jazz, aux musiques actuelles, au théâtre, à la danse et à l’art contemporain.
Abdul Malak a remplacé Claudia Ferrazzi en tant que conseillère aux affaires culturelles et à la communication du président Emmanuel Macron de 2019 à 2022. Elle a supervisé le problème de la pandémie de COVID-19 et l’adoption ultérieure de l’année blanche pour les intermittents du spectacle. Elle a été proposée comme potentielle ministre de la Culture en 2020, pour remplacer Franck Reister.
Rima Abdul-Malak, nommée ministre de la Culture en mai de l’année dernière, est l’une des figures les plus recluses du gouvernement. Le journal Libération consacre son photo du jour à lui ce mardi 23 août pour y remédier. La remplaçante de Roselyne Bachelot évoque ses premières années, son parcours universitaire et sa vie amoureuse.
Amour et politique. Il s’agit d’un sujet complexe que peu de ministres abordent généralement. Ce mercredi 23 août, Rima Abdul-Malak dresse son portrait dans les colonnes de Libération. C’est l’occasion pour ce ministre de la culture peu connu de prendre la parole pour gagner en visibilité. Enfance, rêves et premier emploi.
La successeure de Roselyne Bachelot revient sur les moments marquants de ses premières années et partage des anecdotes sur sa vie sentimentale. Le terme « célibattante » désigne une personne décrite comme « hétéro sans enfant » dans la vie de tous les jours.
A 43 ans, le ministre n’a jamais connu personne. En tout cas, sa mission rue de Valois semble l’emporter sur le reste. Il est important de noter qu’avant d’entrer dans la fonction publique, cette Libanaise d’origine avait travaillé longtemps pour réaliser son rêve de devenir Premier ministre. Appartenant à la « génération Delanoë », qui représente la politique du Real Madrid au début des années 2010, Rima Abdul-Malak a entamé une carrière culturelle chez Clowns sans frontières.
Suite à ses études à Science-Po Lyon, sa ville d’adoption, la jeune et ambitieuse future ministre passe six mois en Israël avant d’être embauchée pour un audit par l’association artistique et humanitaire. En clair, cette personne mérite d’être nommée à la tête de l’ONG.
Aujourd’hui, plusieurs initiatives culturelles sont lancées par Rima Abdul-Malak et ses collègues de la mairie de Paris, parmi lesquelles le CentQuatre, le festival Séries Mania ou encore la Gaîté Lyrique. Que faire pour faire du trentenaire un politique ambitieux, mais surtout un proche conseiller d’Emmanuel Macron à partir de 2019 ?
Si la loyauté du ministre envers le président est le “principal défaut” selon les “admirateurs” interrogés par Libération, alors la volonté sincère de cet ouvrier d’aider le monde culturel fortement impacté par la crise du Covid-19 ne fait aucun doute. . Cela aurait même provoqué un échange verbal entre elle et son précédent, qui la envahissait assezssant.
La politicienne Rima Abdul Malak est née le 11 février 1979 à Beyrouth, au Liban. Elle possède la nationalité française et libyenne. Elle revient à l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon après avoir fréquenté le Lycée International de Lyon et y obtient son diplôme en 1999.
Elle est titulaire d’un DESS en Développement International et Coopération de l’Université Panthéon-Sorbonne à Paris en 2000. Rima Abdul Malak débute sa carrière au sein du Comité catholique contre la faim et pour le développement.
Elle supervise ensuite les programmes Clowns sans frontières de 2001 à 2006 avant de prendre la direction des programmes musicaux de Culturesfrance. Sa carrière prend un tournant dramatique lorsqu’elle rejoint le cabinet de Christophe Girard comme adjointe à la culture de la maire de Paris.
De 2012 à 2014, le jeune homme politique devient ensuite le principal conseiller culturel de Bertrand Delanoë, le maire de la capitale. Sa carrière s’étend à l’international puisqu’elle est nommée attachée culturelle à New York. Elle est nommée ministre de la Culture au sein du gouvernement Borne en mai 2022.
Concernant sa vie personnelle, Rima Abdul Malak est la fille d’une famille chrétienne du Liban. À l’âge de dix ans, elle quitte le Liban en raison de la guerre déclenchée par le général Michel Aoun à la fin des années 1980.
Traumatisée par cet incident, la jeune femme affirme avoir vu sa maison attaquée et avoue avoir simulé sa propre mort. Ainsi, ses parents décident de partir à Lyon et d’y vivre avec leurs trois enfants. Le père de famille connaît bien cette ville puisqu’il y a fait ses études de premier cycle.
“Je n’ai pas prévu de quitter le gouvernement”, a-t-elle déclaré, citant l’immigration de ses parents du Liban vers la France. Rima Abdul Malak, la ministre de la Culture, a réfuté mercredi les rumeurs sur son compte Instagram suite à l’adoption de la proposition controversée de loi sur l’immigration.
De mes parents quittant leur Liban natal et au nom de cette La France qu’ils ont choisi pour sa devise de Liberté, Egalité, Fraternité”. Le 11 février 1979, Rima Abdul Malak est née en France de parents originaires du Liban. Elle vient d’une famille multiethnique. En raison de son éducation dans un environnement mondialisé, elle a une profonde estime pour la littérature, l’art et l’histoire depuis son plus jeune âge.
Issue d’une famille qui accordait une grande valeur à l’éducation, elle a poursuivi ses études avec beaucoup de dévouement et a obtenu une réussite scolaire, ce qui a alimenté sa passion pour la préservation des traditions culturelles.
Rima Abdul Malak a connu un développement professionnel dynamique et approfondi, motivé par son dévouement inébranlable aux arts et à la culture. À la fin de ses études supérieures, elle s’est imposée comme une figure bien connue dans le domaine de la promotion du patrimoine culturel et s’est lancée dans une mission de promotion du patrimoine culturel.
Tout au long de sa carrière professionnelle, Rima Abdul Malak a apporté une contribution significative au domaine de la culture. Tout au long de sa carrière, elle a joué un rôle crucial dans la planification de nombreuses expositions, encourageant le dialogue entre artistes et revitalisant des lieux d’importance historique.
Elle a reçu des distinctions du monde entier pour sa capacité à organiser des expositions mêlant harmonieusement art traditionnel et moderne, ce qui a contribué à consolider son statut de visionnaire culturelle mondiale.
En reconnaissance de ses réalisations extraordinaires et de son engagement indéfectible dans le domaine de la culture, Rima Abdul Malak a été nommée ministre de la Culture en France. Rima Abdul Malak a relevé avec succès les défis de ce rôle important, qui implique de nombreuses responsabilités. Elle l’a fait avec conviction et style.
À travers son poste de ministre de la Culture, Rima Abdul Malak mène des projets importants visant à préserver l’histoire culturelle française. Afin de favoriser un environnement créatif, diversifié et inclusif au sein de la communauté artistique, elle travaille en étroite collaboration avec des artistes, des universitaires et des institutions.