Patrick Pelloux Et Son Compagnon – Patrick Pelloux, connu pour ses chroniques médicales dans le journal de la santé de France 5, a récemment fait une déclaration officielle à son sujet. Un comportement de prédateur sexuel a été allégué par Karine Lacombe, chef des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine.
En disant : « Oh, tiens, je vais être obligé de lui coller un procès », se défend l’urgentiste. L’un des nombreux enfants du célèbre président grégaire de l’Association française des médecins urgentistes est Zoé Pelloux, une productrice franco-américaine. Elle a créé un site en ligne pour que les gens puissent voir ses projets. Productrice de séries, de films et de clips vidéo, elle se présente ainsi. Tout en poursuivant ses études de cinéma à la Sorbonne, elle travaille comme assistante scénariste sur le film Qu’est-ce qu’on a fait au bien Dieu ?
Ayant fréquenté l’école à Los Angeles, Zoé, fille de Patrice Pelloux. Peu de temps après, la jeune femme passe plusieurs années à Los Angeles pour poursuivre un Master en production. De plus, elle a étudié l’anglais à Hollywood. Son temps libre était consacré à l’écriture de courts métrages étudiants.
Après avoir terminé ses études, la jeune femme se lance en affaires en 2017 en tant que productrice indépendante. Parmi ses nombreuses collaborations figurent des clips avec de jeunes cinéastes internationaux. Des festivals internationaux ont choisi quelques-uns.
Enfin, le domaine médical n’échappe pas à la vague #MeToo qui a déjà déferlé sur l’industrie cinématographique. Karine Lacombe, infectiologue, a ouvert le bal il y a quelques jours en dénonçant les agissements d’un urgentologue bien connu. Il y a quelques mois, j’ai arrêté un urgentiste dont on sait qu’il était des sexuellement violents.
De toute façon avec #MeToo, on ne peut plus rien faire”, m’a-t-on reproché. “Cela veut tout dire”, disait-elle à Ouest France en octobre 2023 avant de confirmer le mois dernier dans Paris Match qu’elle discutait avec Patrick Pelloux. « Oh, c’est de lui qu’il s’agit. Non, je ne l’ai pas mentionné pour montrer le système très viril, très sexué et l’universalité de la question dans laquelle se déroulaient les études de médecine. Une journée équivaut à deux jours chez un stagiaire. Ses genoux fléchirent sous elle et il la saisit par le col.
Le point de vue de Roselyne Bachelot sur le #MeTooHôpital
Dans l’épisode de C à vous de jeudi sur France 5, Roselyne Bachelot a été interrogée sur ce #MeTooHôpital. L’occasion rêvée pour l’ex-ministre de la Culture de tirer la sonnette d’alarme. La loi du silence ne doit plus être maîtrisée. On a l’impression qu’une porte s’ouvre et que les autres emboîtent le pas, ce qui est une excellente nouvelle.
Les hiérarchies de pouvoir facilitent la fermeture rapide des portes, que ce soit à l’hôpital, dans l’armée ou dans le monde culturel, où elle a été confrontée à des problèmes similaires et a fait de nombreuses concessions, confie-t-elle. Ce qui manque à ces institutions, ce sont des compagnons qui, dès la révélation d’un fait, accompagnent ceux qui font face à la dénonciation de ce fait.
Et c’est vraiment horrible. Comme vous le savez, je suis une militante féministe de la vieille école et je pensais que les choses s’amélioraient lentement. Et tout ce qu’on dit est terrible, a-t-elle regretté. Représentant des médecins des hôpitaux universitaires (CHU), l’instance s’engage suite à des signalements d’agressions sexuelles et sexistes à l’hôpital. Vendredi 19 avril, elle promet de “protéger” les victimes et témoins qui “signalent” et de mettre “tolérance zéro” à l’égard de tout médecin pouvant être manipulé.
Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine de Paris, a accusé dans les médias l’urgentologue Patrick Pelloux de “harcèlement sexuel et moral”, dans une enquête de Paris-Match publiée la semaine dernière.
L’article a suscité une avalanche de réactions et de témoignages complémentaires, que ce soit sur les réseaux sociaux ou en présence de certains syndicats et associations qui parlent au nom des internes, des jeunes professionnels ou des étudiants en filière santé.
Outre les témoignages d’agressions dans divers contextes, plusieurs infirmières ont dénoncé la mentalité « carabine » (étudiants en médecine) et « patriotique » qui existe à l’hôpital et qui soutient la violence sexuelle et sexiste. En groupe, ils ont dénoncé la pratique de l’omerta, courante dans les sociétés hiérarchiques où les victimes craignent pour leur avenir professionnel.
“Ne laisser aucun signalement sans réponse”
La conférence des présidents des CME du CHU écrit dans un communiqué diffusé vendredi que, « par leur rôle et les compétences qui leurs sont conférées », les commissions médicales d’établissement (CME), qui sont des instances représentatives des médecins hospitaliers, « sont amène à connaître et à traiter les cas de violences sexuelles et sexistes qui leur sont signalés».
Le célèbre médecin Patrick Pelloux, que l’on voit souvent à la télévision, est une nouvelle fois la cible de graves plaintes déposées contre lui par l’infectiologue Karine Lacombe de l’hôpital Saint-Antoine. Dans une interview accordée à Ouest-France en octobre, elle le qualifiait de “prédateur sexuel”, sans le nommer. Pourtant, il y a quelques jours, elle confirmait à Paris Match qu’il s’agissait bien de l’un des ses : “Je ne l’ai pas cité parce que je voulais montrer.
Même s’il sait qu’il doit porter l’affaire devant les tribunaux, Patrick Pelloux ne reviendra pas sur les allégations que Karine Lacombe a formulées contre lui. J’étais malade et détruite par tous ces textes. Tout cela est de la diffamation. Aucune justice ne sera rendue aux membres de cette cabale par mes avocats.
Nous étions beaucoup plus naïfs à l’époque pour pouvoir être liés par le genre. Il a déclaré “Je n’ai jamais attaqué personne” à l’émission Le Point crédible. Les complices mettent en œuvre « une manœuvre politique », comme l’expliquent nos confrères rencontrés.
Mes excuses, mais où des preuves ?
Le porte-parole de l’Association française des médecins urgentistes de France, Christophe Prudhomme, dirigée par Patrick Pelloux, partage ce point de vue. Alors qu’elle était patiente à l’Hôpital Saint-Antoine en 2004, la Dre Julie Guiader disait de lui : « Je l’ai jamais vu avoir de gestes déplacés envers une femme ».
C’est pourquoi elle avait également fait confiance à lui. Il faut une grande gueule pour maîtriser une personne agressive. “Ce “déballage médiatique sans preuve” est déprimant, estime Anne Wernet, présidente du Syndicat national des anesthésistes hospitaliers.
Des “Bonds de toux incessantes, a priori volontaires” concernant l’aide auraient été présents lors de la cérémonie du 25 novembre 2017, selon la description détaillée de l’événement par Ouest-France. “
Une fois connues les accusations portées contre le médecin urgentiste, cette scène devient secondaire. L’article décrit ensuite un “prédateur sexuel”, ouvertement ou secrètement sexiste : un coutumier des blagues grivoises.
Selon l’enquête de Paris-Match, même les ministres de la santé Roselyne Bachelot et Agnès Buzyn étaient au courant des manipulations du médecin médiatique. Des accusations de comportement de prédation sexuelle ont été portées contre le président d’honneur de la cérémonie pour l’égalité des femmes et des hommes (1).
En effet, Marlène Schiappa en avait également conscience, n’est-ce pas ? Le magazine posera ce sujet le vendredi 12 avril 2019. Après une nouvelle affaire de harcèlement sexuel, l’hôpital public est en état d’alerte. Patrick Pelloux, médecin urgentiste à l’hôpital Saint-Antoine, aurait commis des actes de harcèlement et d’agressions sexuelles en abusant de ses fonctions, comme l’a révélé la Pr Karine Lacombe dans un reportage du 11 avril publié par Paris Match.
L’article “Moi aussi à l’hôpital, les masques tombent” a été publié le 11 avril par Paris Match et comportait en illustration une photo du Dr Patrick Pelloux. Sur six pages, des employés anonymes de l’hôpital victimes d’agressions sexuelles et de harcèlement racontent leur douleur et leur souffrance.
Mais la proposition du Pr Karine Lacombe, infectiologue réputée à l’AP-HP et bien connue du grand public depuis la crise sanitaire, sort du lot. En octobre 2023, les éditions Stock publient Les femmes savant l’hôpital, un livre écrit par le chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital parisien Saint-Antoine.
À plusieurs reprises entre 2003 et 1994, alors qu’elle était stagiaire, elle raconte ses rencontres avec un médecin prédateur sexuel. Ils sont nés alors qu’elle était médecin, mais elle ne les a jamais connu… L’identité du patient, un médecin urgentiste médiatique de sept ans à Saint-Antoine, a été révélée pour la première fois par Paris Match. , qui a confirmé la nouvelle auprès de l’infectiologue.