Nouveau Compagnon Agnès Jaoui 2020 – Ils ont fait partie d’une paire significative dans le cinéma français. La réalisatrice de “Goût des autres”, Agnès Jaoui, qui fête ses 58 ans le 19 octobre, a évoqué avec passion et honnêteté le début de son histoire avec Jean-Pierre Bacri, commencée il y a plus de 35 ans, même si elle est terminée depuis plus de 35 ans. que 10 ans.
Le 19 octobre 2022, la légendaire actrice française Agnès Jaoui fêtera ses 58 ans, un prétexte parfait pour revenir sur sa remarquable carrière. Sur ce parcours, Jean-Pierre Bacri occupe une position unique. Ensemble, l’acteur et le scénographe forment un duo artistique et romantique qui produit des œuvres époustouflantes. A titre d’exemple, “Un air de famille” fait partie des œuvres de ces créateurs à quatre mains qui ont centré leurs compositions sur la condition humaine et les relations interpersonnelles.
La mère de deux enfants, qu’on est obligé d’écouter dans “Le Goût des autres”, se livre sur sa vie dans plusieurs épisodes d’un entretien avec France Culture. C’est ici que nous avons eu sa rencontre avec l’homme libre qu’était parmi eux Jean-Pierre Bacri. Elle parle de son rôle dans la vie et notamment de sa relation avec sa famille, avec une part évidente d’émotion dans la voix.
Quand Agnès Jaoui rencontre Jean-Pierre, elle joue le rôle d’humoriste dans L’Anniversaire d’Harold Pinter. Jouais 22 ans. Tout à l’heure, je me souviens avoir dit à mon père que j’avais rencontré quelqu’un dont j’étais follement amoureux, mais qu’il était trop vieux pour moi. (le suivant) “35, 36 ans, je sais plus”, dis-je. Elle s’est souvenue du rire explosif de son père pour France Culture.
La combinaison d’Agnès Jaoui, issue d’une famille très présente et conciliante, et de Jean-Pierre Bacri, qui “détestait la famille” (pas sa famille actuelle, mais le concept en général), aurait pu poser problème. Non, leur romance s’épanouit à un moment charnière de la vie de l’artiste. C’était comme si un fossé s’était ouvert entre ma famille et moi après cela. “Je suis quasi passée d’une religion à l’autre”, confie-t-elle.
Il y a évidemment eu un avant et un après Jean-Pierre dans ma vie. Quel que soit le point de vue. Oui, j’ai mis un peu d’espace entre moi et Jean-Pierre, mais il n’y avait pas que lui. C’est aussi à ce moment-là que j’ai commencé une thérapie, à l’âge de 21 ans. Un long chemin a été parcouru. Même si ma famille était adorable, c’était difficile. Je crois que pour grandir, il faut se séparer de sa famille, il faut couper les racines pour que les pousses puissent germer.
Une “crise d’adolescence” survient pour Agnès Jaoui à 30 ans. “C’est assez difficile. Je ne vois pas quoi m’opposer, on m’avait laissée libre de tout. Plus tard, avec L’aide de Jean-Pierre encore une fois… Même si je viens d’une famille très accueillante et que ma mère est psychothérapeute, cela a connu le même déni que beaucoup de gens. Une fois qu’une maltraitance est découverte, elle ne se déroule pas comme prévu.
Cette fille auteure, formatrice et psychothérapeute spécialisée en transactionnelle raconte que on ne peut pas l’entendre pour du reste, c’est mis sous le tapis. C’était une époque où elle pouvait compter sur son compagnon, dont elle s’est séparée sans encombre en 2012 : Ici, de ce côté-là, Jean-Pierre a beaucoup compté. Il incarnait la loi et avait une opinion très forte sur la justice.
C’est sans doute sa jambe droite qui a provoqué sa disparition le 18 janvier 2022, à l’âge de 69 ans, des suites d’un cancer, qui touche à ce point la France. “C’est pour cela qu’il était tant adoré”, dirait l’héroïne et auteur de Chef et dépendances. Lors de son apparition dans l’émission Beau geste, le dimanche 30 avril 2023, Agnès Jaoui s’est confiée sur son combat pour écrire sans son compagnon de longue date, feu Jean-Pierre Bacri.
Aux multiples talents, Agnès Jaoui n’est pas seulement chanteuse mais aussi actrice, réalisatrice et scénographe. Féministe déclarée, elle n’a jamais eu peur de dénoncer le sexisme à Hollywood, aux festivals de César et de Cannes, ou le « machisme inconscient et habituel » qu’elle voit dans le cinéma français. Mais surtout, elle a à son actif quelques-unes des plus belles pages du cinéma français grâce à son collaborateur de 25 ans, feu Jean-Pierre Bacri, malheureusement décédé le 18 janvier 2021, à l’âge de 69 ans.
Au milieu des années 1980, alors qu’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri interprétaient “L’anniversaire” d’Harold Pinter, ils se rencontrent. Pour eux, il s’agit non seulement d’une histoire d’amour romantique mais aussi artistique puisqu’ils décident d’écrire ensemble leur première pièce, Cuisine et dépendances. Pour une audition, c’est un coup de maître puisque leur pièce a remporté quatre Molières en 1992, dont celui de la meilleure révélation théâtrale pour Jean-Pierre Bacri et du meilleur auteur pour le duo Jaoui/Bacri.
Une adaptation cinématographique de Cuisine et dépendances sort en salles l’année suivante, témoignage de l’immense popularité du spectacle. Le scénario du film Un air de famille de Cédric Klapisch (1996) a été co-écrit par Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri. Pierre Lescure interviewe Agnès Jaoui sur les origines de leur “écriture à qu.
Ne me proposait rien. ” Alors nous avons dit “Nous allons faire quelque chose nous-mêmes”, raconte-t-elle. Sept autres décors, dont ceux des longs métrages Goût des autres, Comme une image, Parlez-moi de la pluie et Au bout du conte d’Agnès Jaoui, naîtront de cette fructueuse coopération. Ils écrivent ce qui sera leur dernier film commun, Place publique, en 2018. Il s’agit de l’une des dernières apparitions à l’écran de Jean-Pierre Bacri.
Depuis, Agnès Jaoui n’a plus rien écrit pour le cinéma. Comme elle l’a confié à Pierre Lescure dans Beau geste, le projet sur lequel elle travaillait avec son ex-compagne est visiblement terminé. Alors qu’Agnès Jaoui et son amie d’enfance travaillent d’arrache-pied sur “une sorte de roman autobiographique”, elle admet honnêtement qu’écrire sur le cinéma est “c’est encore un peu compliqué” sans elle.
Un des plus grands amours du cinéma français a été raconté dans ce film. Inséparables depuis leur rencontre en 1986 jusqu’au décès de l’acteur en 2021, Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, qui fête jeudi ses 59 ans, ont réussi tout ce qu’ils entreprenaient. Mais leur rencontre, un grand coup de chance, fut à l’origine d’une véritable rupture dans leur vie privée.
Dans sa propre vie, lui raconte-t-elle, il y a eu un “avant et un après Jean-Pierre”… Agnès Jaoui aura probablement beaucoup de choses en tête alors qu’elle fêtera ses 59 ans le jeudi 18 octobre 2023, car elle et Jean-Pierre Bacri ont été partenaires pendant plus de vingt ans, ont écrit neuf scénarios et réalisé cinq films. Après de nombreuses césariennes, le couple inséparable a finalement été séparé par le destin : Jean-Pierre Bacri est décédé des suites d’un cancer en janvier 2021.
Une fin malheureuse pour ceux qui se sont croisés sur une production scénique. Malgré un écart d’âge important, un baiser passionné : Agnès Jaoui 22 ans et Jean-Pierre Bacri 36 ans. Mais plus rien ne les séparera. A moins de rencontrer Jean-Pierre, je vois un homme tellement indépendant et libre. “On tombe amoureux et je suis enceinte de lui”, avait déclaré l’actrice et réalisatrice à France Culture en septembre 2022.
Malgré sa proximité avec sa famille, elle sent désormais que quelque chose l’éloigne. C’était comme si un fossé s’était ouvert entre ma famille et moi après cela. Selon ce qu’elle a révélé dans une interview, “je suis un peu passé” entre religions.Quel que soit le point de vue. Oui, j’ai mis un peu d’espace entre moi et Jean-Pierre, mais il n’y avait pas que lui.
C’est aussi à ce moment-là que j’ai commencé une thérapie, à l’âge de 21 ans. Un long chemin a été parcouru. Même si ma famille était adorable, c’était difficile. Je crois que pour grandir, il faut se séparer de sa famille, il faut couper les racines pour que les pousses puissent germer. L’acteur était connu pour ne pas être “très familia”, bien qu’il ait été nommé douze fois aux César et qu’il en ait six d’entre eux (dont un César d’honneur). Cependant, elle ressentait la même chose à propos des deux enfants que son compagnon a fini par adopter. Et il n’a jamais cessé de se réjouir d’elle.
“Agnès, j’ai vu l’entrée commencer. J’ai remarqué que l’actrice avait eu des relations sexuelles entre ses débuts et, je dirais, trois ans plus tard. Dans “Une femme d’extérieur”, elle était redoutable. En tant qu’humoriste, elle aura toujours ma plus grande admiration. Six ans après leur séparation, il expliquait dans La Nouvelle République qu’il ne s’agissait pas de ses sentiments pour elle, mais plutôt qu’elle était une fantastique actrice.
Une rupture qui n’avait pas empêché le couple de s’aimer. C’est une femme absolument époustouflante, intelligente et adorable ; je n’aurais jamais pu rêver d’un meilleur partenaire. Personne n’a jamais voulu perdre. En effet, Jean-Pierre Bacri avait déjà déclaré en 2015. dans Version Fémina, “On s’aime toujours, mais autrement”, avant d’ajouter l’année suivante dans Gala : Je pense que c’est réciproque, Agnès, c’est la grande histoire de ma vie. Je t’aime. “Mon âme sœur”, dit-elle.Désormais sœur solitaire, mais qui doit se souvenir chaque jour de l’homme qui a brisé sa vie.