Louis Amar Parents – Mon père m’a envoyé place Négrier chercher du pain et du vin, et pendant que j’y étais, j’ai vu un homme se faire frapper à la tête par deux balles, et il n’était qu’à cinq mètres. Vers l’âge de dix ans, j’ai enfin compris ce qui s’était passé en août 2020, lorsque le journaliste avait raconté à France Dimanche que mon cousin Gaston Ghrenassia (Enrico Macias) et son frère Jean-Claude avaient été emmenés à l’hôpital et que je les entendais crier dans douleur.
Selon le journaliste, « J’ai toujours gardé ma vie privée et ma vie publique très séparées ». De plus, malgré les effets paralysants de la célébrité, j’ai toujours eu une vie normale. Un certain nombre de mes amis et confidents ont parfois confondu scène écran et miroir. Le public ignorera l’état actuel de sa relation avec son cousin Enrico Macias. Même enfant, il a vécu les ravages provoqués par la guerre d’Algérie. Gravement blessé lors d’une tentative d’attentat à la bombe en 1961, ses parents décidèrent de déménager la famille en France.
Paul, après s’être installé dans sa nouvelle maison à Lyon, lâche tout et se dirige vers la Ville Lumière, où il vend des pulls pour payer son école de journalisme. Il débute sa carrière de journaliste à France Inter après avoir obtenu son diplôme spécial en 1971 ; là-bas, il couvre la guerre du Cambodge avant de s’installer aux États-Unis.
Il passe de la radio à la télévision lorsqu’il revient à France 2 comme correspondant en chef en 1979. Peu de temps après son arrivée, il est promu au poste de chef de cabinet chargé des affaires politiques. En entrée 1990, il dirige l’émission JT du réseau en soirée. C’est lors d’un débat sur les élections européennes de 1994 qu’il devient célèbre en offrant des gants de boxe à Jean-Marie Le Pen et Bernard Tapie.
Le réseau est réellement bouleversé par cet acte, mais ils valent néanmoins. Malgré cet échec, il persiste dans sa carrière et animera Revu et corrigé sur France 5 jusqu’en 2013. Paris Première, France 2 et France x diffusent ses émissions.
Paul Amar est né le 11 janvier 1950 à Constantine, en Algérie, et lui et ses parents ont été enlevés en France en 1961. La famille s’installe dans la banlieue lyonnaise, où le travail de Charles comme agent à la SNCF les occupe.
Paul débute sa carrière de journaliste en 1971 à France Inter après avoir été diplômé du CFJ. En 1973, il est correspondant de guerre à Phnom Penh, au Cambodge, durement touché par la prolongation de la guerre du Vietnam à cause des Khmers rouges. Il couvre la campagne présidentielle qui a suivi le Watergate et qui a conduit à la démission de Jimmy Carter en 1975 en tant que correspondant à Washington.
A son retour à Antenne 2 en 1979, le journaliste y reprend ses fonctions. De plus, il continue de travailler comme journaliste politique et anime désormais chaque semaine Les Dossiers de l’écran. C’était il y a dix ans. Il anime le Journal de 20 heures de la première chaîne publique depuis 1992. Il a été poussé vers la sortie après le 1er juin 1994.
Ce soir, l’animateur est censé modérer un débat entre Jean-Marie Le Pen et Bernard Tapie, tous deux se présenter aux élections européennes. Amar, dont le président Jean-Pierre Elkabbach aurait pu le convaincre pour organiser cette rencontre, a l’idée provocante de sortir deux paires de gants de boxe d’un sac en plastique pour jouer de la flûte.
Il passe ensuite par TF1 (1996-1998) avant de revenir sur France 2 pour une émission dominicale (1998-2000). Cela fait suite à un passage à la chaîne Paris Première, où il présentait le JT, ce qui lui valut son premier 7 d’or du meilleur présentateur de journal télévisé. Après quelques va-va-vooms supplémentaires, l’homme aux yeux de chat s’impose solidement sur France 5 avec son magazine Revu et corrigé (2007-2012). L’année suivante, la chaîne le remercie pour des raisons budgétaires, ce qui conduit dans un premier temps à son KO.
Le journaliste se consacre sans engagement à écrire son autobiographie. Sorti en septembre 2014, Blessures. Elkabbach a juré de soutenir la campagne présidentielle d’Édouard Balladur en 1995 si le ministre du Budget le nommait à la présidence de France Télévisions, selon le livre et le matériel promotionnel de Paul Amar. Cet accord a été rompu il y a vingt ans. “
Delires mensongers”, selon l’intervieweur politique d’Europe 1. “Paul, l’ennemi est toujours un mauvais conseiller”, lui dit-il à travers une caméra coupée. À l’heure actuelle, aucun des deux hommes n’est sorti victorieux de la vive dispute qui a suivi entre eux.
Parce que le souvenir flou de cette époque me réconforte, sachant que nous quittions un champ de bataille de meurtres et de haine alors que j’avais à peine onze ans. Finalement, tu étais sur le point de mourir, j’étais sur le point de perdre mon enfant et il ne me reste plus que mon frère à Lyon de l’autre côté. au côté.”
Maman était inquiète au début, mais elle a ensuite compris à quel point c’était un immense honneur pour notre famille. D’aussi loin qu’elle se souvienne, même lorsqu’elle était petite fille, elle voulait devenir médecin ou avocate. De la même manière, mes fantasmes d’enfance sont devenus réalité, tout comme le rêve de mon père. Être témoin, narrateur et rémunéré pour raconter une histoire est une expérience extrêmement enrichissante.
PA : C’était vraiment désolant, mais je me souviens d’un fait qui s’est passé en mode vivant et vive. Je préférerais discuter de la question suivante avec vous en privé, alors soyez-en conscient. Juste avant ma première semaine de travail de 20 heures, ma sœur aînée décède.
J’ai téléphoné au président de France Télévisions pour lui annoncer mon départ et il m’a dit : “Mais vous m’avez mis moi dans une position très sensée, sur un correspondant sur votre sujet !” A l’époque où Jean-Pierre Elkabbach présidait France Télévisions, j’ai basculé l’antenne pour diffuser le journal de 20 heures.
Ayant travaillé pour le redoutable Hervé Bourges, nous étions à nouveau gouvernés par quelqu’un qui nous imposait sa volonté et, surtout, faisait pression sur les ministres pour qu’ils s’y conforment. En Europe, Elkabbach avait souvent menacé Jean-Marie Le Pen à cause de leur amitié, donc il savait ce que je ressentais pour elle.
Avant le 1er juin 1994, date à laquelle j’ai été obligé de la donner, le grand public ignorait même que cette présentation existait. En outre mon refus de l’offre, j’ai désistissé le lendemain. La majorité de l’équipe s’est réunie vers la fin de midi pour m’insubrier de rester.
Quoi qu’il en soit, j’ai agi selon mon meilleur jugement compte tenu des contraintes. Selon une deuxième source au sein du ministère de l’Intérieur, une confrontation physique entre Le Pen et Tapie est inévitable. Ils attendaient son retour comme enjeu politique futur en raison de sa faible popularité à l’époque.
En conséquence, j’ai enfilé mes gants de boxe et leur ai appris plusieurs mouvements. Il leur fallait de ne pas être trop sévères dans leurs critiques. Dans un discours devenu subtilement jockey et plutôt hautain, ma capacité à les déstabiliser me donne le dessus.
Il me faudrait toute la journée pour dire quoi que ce soit alors qu’il y avait là une délégation d’hommes politiques, d’intellectuels et de professeurs d’université. PA : Malheureusement, je n’ai pas pu le terminer. Je ne pouvais pas me permettre de geler face au froid, peu importe à quel point je frissonnais.
Tout le monde n’a aucune idée du genre de souffrance que les anciens détenus du camp ont pu endurer parce qu’ils ne sont plus en vie. Ma grande perplexité. Je n’ai pas pu avoir une conversation significative avec qui que ce soit pendant le reste de cette journée et les trois jours qui ont suivi.
L’anniversaire d’un journaliste bien connu aura lieu le mercredi 11 janvier prochain. Aujourd’hui, Paul Amar a 73 ans. Sa carrière sur Antenne 2 l’a rendu célèbre, et il est également le cousin d’une chanteuse française très acclamée. Au fil des années, elle connaît un grand succès en tant qu’écrivain politique pour France Inter et Antenne 2. Une différence d’âge de douze ans sépare Paul Amar et Enrico Macias. Après avoir été amis d’enfance, ils étaient tous ensemble en 1961 lorsqu’un attentat dévastateur les traumatisa.