Julien Tchernia Parents – Le 8 octobre 2016 marquait le décès de l’animateur et réalisateur Pierre Tchernia. Il avait 88 ans. Figure emblématique de l’histoire de la télévision française, “l’ami public numéro un” brise le cœur des téléspectateurs du monde entier.. La famille de son père a fui l’Empire tsariste Du cinéaste Yves Robert aux acteurs Jean-Marc Thibault et Jean Richard, il a eu des relations avec de nombreuses futures stars lors de ses études de cinéma à l’Idhec.
La santé de Papa s’est dégradée il y a huit jours et il est décédé à trois heures du matin. . Comme l’annonçaient nos confrères du divertissement : « Il est parti dans la sérénité entourée de sa famille Artmedia, son agent, a développé le sujet. Le Parisien Une époque où les 3500 téléviseurs français étaient en nombre limité ! Pierre Tchernia enchaîne ensuite les programmes cinématographiques à succès, comme les légendaires Monsieur Cinéma (1967-1980) et Mardi cinéma (1982-1987).
Malgré ses nombreuses apparitions en tant que commentateur de l’Eurovision (il a établi un record de catégorie avec ses commentaires sur douze concours !), Pierre Tchernia a connu un petit scandale dans les années 1980. Cependant, son ami et fan Arthur lui avait demandé de s’habiller en Les Enfants de la télévision.
Ainsi, “Magic Tchernia” (comme on appelait Arthur) a pu apparaître dans la série de 1994 à 2006.
Pierre Tchernia, qui affirmait vouloir travailler « à tant qu’on s’il vous plaît », était bouleversé par la disparition en 1998 de son épouse Françoise (ils se sont mariés en 1949) et souffrait de graves problèmes de mobilité à cause de son cou.
En 2000, Pierre Tchernia expliquait dans Riant : Il n’y a que deux choses que je n’ai jamais faites à la télévision : écrire un feuilleton et présenter la météo Le gagnant, celui qui accélérera le déploiement de cette énergie collaborative, brisera l’âge d’or de la production centralisée. Par Julien Tchernia, président et co-fondateur d’ekWateurLes pans de notre société qui ont été bouleversés par l’économie collective ne sont plus pris en considération.
L’industrie du taxi, l’hôtellerie et le secteur bancaire sont tous particulièrement touchés par la montée des corporatismes historiques. Il est temps que le secteur de l’énergie soit intégré à la collaboration. Comment le collaboratif a tout cassé. La participation du client aux activités de l’entreprise par le biais de la rémunération est le principe fondateur de la collaboration.
Dans cette optique, chacun peut s’adonner à une activité quotidienne à son rythme. L’idée n’est pas nouvelle, mais c’est Internet qui a simplifié sa mise en œuvre en réduisant la visibilité de la petite annonce qui était auparavant publiée au milieu de notre quotidien. Il est désormais possible d’atteindre une zone géographique bien plus vaste et un nombre de clients potentiels bien plus important qu’auparavant.
Multiplication des plateformes En conséquence, le nombre de plates-formes reliant les particuliers et les entreprises a augmenté à un point tel qu’il est facile pour l’utilisateur de se laisser submerger par le grand nombre d’options. En effet, après la phase de découverte qui a accompagné l’explosion du secteur collaboratif, est arrivée la phase de consolidation : certains sites ont fermé, d’autres ont été rachetés par de grands groupes, et les plus viables ont réussi à se renforcer, souvent avec l’aide de efforts de collecte de fonds.
Ce dont l’utilisateur a désormais besoin, c’est d’un système de support ergonomiquement optimisé et, surtout, d’une plateforme fiable. De plus, le collaboratif permet d’aller encore plus loin en offrant à l’utilisateur la possibilité de conseiller d’autres consommateurs. Il est possible de distribuer le service client d’une entreprise et de faire en sorte que ses propres utilisateurs apportent de précieux conseils aux autres utilisateurs du même service.
Le secteur de l’énergie est prêt. Notre production d’énergie s’est développée selon un modèle hautement centralisé, les résultats les plus notables étant les centrales nucléaires, les lignes à haute tension et un opérateur unique supervisant l’ensemble de l’opération.
La principale contrainte imposée à l’électricité est qu’elle ne peut pas être stockée, et ce modèle est basé sur cela. Un équilibre constant entre production et consommation est imposé par cette contrainte. Il faut maîtriser ces deux casseroles à la fois pour y parvenir. La stabilité du réseau électrique ne pouvait être.
Ce n’est plus le cas. Prenons l’exemple des prix de l’électricité ; contrairement aux idées reçues, ils sont depuis plusieurs années plus faibles en Allemagne qu’en France sur les marchés de gros. La gestion de cet équilibre est donc la clé pour restaurer la compétitivité de notre système de production électrique.
Il suffit de s’inspirer d’autres industries. Grâce à Internet, l’équilibre entre l’offre et la demande dans l’économie coopérative en matière de transport, de logement, de biens d’occasion, etc. peut être géré. Désormais, même dans un réseau très décentralisé, la qualité des réseaux de communication permet la gestion du bilan électrique.
C’est à cela que fait référence le terme « réseau intelligent » dans sa forme la plus élémentaire.
Dans le même temps, les énergies renouvelables apparaissent comme une nouvelle forme de production électrique. Le fait que la ressource productive soit accessible à tous et partout a déclenché une révolution.
Il n’est plus nécessaire de brûler du gaz, du combustible, du carbone ou de l’uranium pour produire de l’électricité. Juste une petite brise ou des rayons de soleil feront l’affaire. La collaboration dans la production d’électricité, également connue sous le nom de production décentralisée d’énergies renouvelables, peut commencer à ce stade.
La fin de la production centralisée
Donc, techniquement parlant, tout est en place et la course à la création d’une « plateforme Internet » est lancée. Le gagnant, celui qui accélérera le déploiement de cette énergie collaborative, brisera l’âge d’or de la production centralisée. Aujourd’hui, les fournisseurs d’énergie alternative ont le vent en poupe. Un cadre législatif un peu plus favorable.
Tous ces changements dans le secteur de l’énergie étaient inimaginables il y a quelques années à peine. La réglementation a également changé, au-delà de l’aspect technologique. Par exemple, jusqu’en juin dernier, seul EDF pouvait revendre de l’électricité aux particuliers grâce aux subventions de l’État.
Il faudra un certain temps avant que tous les fournisseurs du marché obtiennent cette licence d’achat, mais la législation est déjà jointe. Par exemple, les réseaux de distribution électrique doivent nécessairement s’adapter à une petite ville qui décide d’alimenter ses écoles, sa mairie et autres institutions municipales en remplissant un champ de panneaux solaires.
Installer des ouvrages de transport d’énergie sans impliquer les acteurs historiques français est en effet interdit. Une petite frontière juridique a donc été franchie ces derniers mois, mais les efforts dans ce domaine doivent être intensifiés pour contrer la tendance des énergies renouvelables dans l’Hexagone.
Cette tendance pourrait s’inverser dans les années à venir si la France continue à s’appuyer sur des initiatives innovantes, sur la vague collaborative et sur une évolution favorable de la législation, qui explique sa position en matière de renouvelables énergétiques. Et il suffit que des citoyens individuels adhèrent à cette transition énergétique et fassent tomber ainsi les mastodontes de l’industrie française.
Tchernia, Julien Issu d’une illustre famille profondément enracinée dans l’industrie du divertissement, Pierre Tchernia est le père. Comme le flambeau de la réputation de son estimé père , Julien incarne un engagement d’excellence et de créativité. Son éducation dans le monde passionnant du cinéma et de la télévision lui a apporté des connaissances et des expériences inestimables, qu’il a utilisées pour alimenter son profond amour des arts.
Issu d’une école de cinéma, Julien Tchernia apparaît comme un jeune homme prometteur prêt à tracer sa propre voie tout en rendant hommage à son célèbre père, Pierre Tchernia. Issu d’une école de cinéma, Julien Tchernia apparaît comme un jeune homme prometteur prêt à tracer sa propre voie tout en rendant hommage à son célèbre père, Pierre Tchernia.
Julien Tchernia, PDG d’EkWateur, a débuté sa carrière professionnelle comme ingénieur après avoir obtenu son diplôme de Télécom. Bretagne. Son parcours le mène de Brest à la Pologne, en passant par Rome, Mâcon, Bruxelles et au-delà. Mais c’est lors de son mandat chez Altran à Bruxelles que sa passion verte commence à prendre forme, marquant le début d’une démarche soucieuse de l’environnement.