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Jean Baptiste Hennequin Aujourd'hui
Jean Baptiste Hennequin Aujourd’hui

Jean Baptiste Hennequin Aujourd’hui – Gardien de nuit de 61 ans au Grand Hôtel de Saint-Quentin (Aisne), Jean-Baptiste Hennequin a sauvagement assassiné son deux patrons et la réceptionniste en 1997. Lors de son procès, il agit comme s’il était la seule victime de l’incident. et ne montre aucun remords.

Pendant des mois, il a dû faire face chaque jour aux critiques et au manque de reconnaissance de ses mécènes, qui voulait qu’il coupe les ponts ? L’accusé n’a pas réussi à convaincre le jury de Laon, qui a prononcé la peine maximale de la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle plus 22 ans de probation.

Et puis une nuit à l’hôtel tourne au drame. Aujourd’hui, après un incendie, trois salariés ont disparu et les corps de deux propriétaires d’un établissement picard renommé à la fin des années 90 ont été retrouvés. En janvier 1997, les pompiers de Saint-Quentin en Picardie se rendent au Grand Hôtel, établissement bien connu dans la région, pour leur bon service.

Trente chambres avec quatre étoiles. Pourtant, deux corps – celui du directeur de l’hôtel Léo Rupioz et de sa collègue Gisèle Kunstler – gisent sur le sol de la chambre 101. L’horreur. Une boucle d’oreille à gauche pour elle. Tout le monde, du marié à la réceptionniste en passant par le veilleur de nuit, est également à l’écoute.

Une deuxième alarme a été déclenchée car un incendie a été signalé dans une rue voisine. Au milieu d’un désordre énigmatique, aux multiples sorties de secours, ils trouvent un studio et poursuivent leur route. Aucune personne raisonnable ne pourrait remettre en question l’intention criminelle. Cet appartement appartient à Jean-Baptiste Hennequin, veilleur de nuit du Grand Hôtel de 61 ans.

Edit d’arrestation internationale

La police contrôle l’établissement de fond en comble. Ils finissent par retrouver le mari au sous-sol. Il explique que le veilleur de nuit l’a poignardée ici, évoquant une bagarre, de manière très paniquée. On conserve le meilleur pour la dernière… Il s’agit du réceptionniste dont le corps est retrouvé dans la cave à vins de l’hôtel, et des deux clients qu’Hennequin aurait aimé tuer de ses propres mains.

La police ne tardera pas à tirer une conclusion : le veilleur de nuit est responsable du triple meurtre. Après avoir laissé ce mot délicat sur le bureau du réceptionniste : « Absence définitive de l’intrèse », il a volé la recette de l’hôtel.

Arrivés sur les lieux, les secouristes retrouvent les corps de deux personnes — le directeur de l’hôtel Léo Roupioz et sa collègue Gisèle Kunstler1 — gisant sur le sol de la chambre 101. Il semblerait que les victimes étaient poudrées de blanc après avoir été sauvagement assassinées. Les ambulanciers trouvent un mot anonyme sur leur corps qui identifie le double du tueur.

Au cours de leur enquête, la police a retrouvé le mari, la réceptionniste et le veilleur de nuit portés disparus sur les lieux du crime. En revanche, dans la rue de l’Est, un studio a alerté les forces de l’ordre sur un incident criminel. Ils arrivent et voient que c’est complètement chaotique ; ils ont éteint plusieurs incendies ; l’incendie est criminel.

Il apparaît que Jean-Baptiste Hennequin, qui n’est autre que le veilleur de nuit du Grand Hôtel, est le propriétaire du studio. Le policier se rencontre à Hennequin, surpris par cette coïncidence, alors que d’autres policiers fouillent l’hôtel pour trouver quelque chose qui pourrait les aider à comprendre ce qui s’est passé.

En fouillant dans le sous-sol de l’hôtel, ils retrouvent Philippe Bertrand, le mari inconscient. Ce dernier est attaché et leur raconte que le veilleur de nuit Jean-Baptiste Hennequin l’a bousculée en utilisant la même tactique que le réceptionniste et en laissant la possibilité d’un raboteur de cascade sous-marin.

Hennéquin a menacé la jeune femme et deux propriétaires avec une arme à feu, et le jeune mari raconte aux autorités qu’il lui a dit de les tuer. Derrière la cave à vin souterraine de l’hôtel, les enquêteurs ont découvert le corps sans vie de Michèle Fabris, une jeune réceptionniste de 25 ans.

Trois analyses des cadavres montrent que le tueur a reçu de multiples coups à la tête, Gisèle Kunstler et Michèle Fabris ont toutes deux reçu une balle à la tête, et le tueur a été assisté. A ce propos, Léo Roupioz a également écopé de cinq cartons jaunes mais n’a pas été découragé par la rencontre.

Les autorités ont déterminé que le veilleur de nuit était responsable du triple meurtre après que Philippe Bertrand, le mari, a affirmé que Jean-Baptiste Hennequin avait tué la réceptionniste. De plus, ces individus ont découvert que Jean-Baptiste Hennequin avait volé la recette de l’hôtel et avait laissé un mot sur le bureau de la réceptionniste indiquant : « Absence définitive de l’intéressée » pour Mme.

Jean Baptiste Hennequin Aujourd’hui

Les fibres végétales. De plus, Hennequin ne soutient plus Michèle Fabris, qui entretient des relations cordiales avec Mme. La police a retrouvé la voiture noire de Michèle Fabris, volée par Jean-Baptiste Hennequin, dans une rue du quartier des Gares à Amiens le 29 janvier 1997. Les enquêteurs ont conclu que le meurtrier ne se trouvait probablement pas à Amiens mais était plutôt monté à bord du train le jour de l’incident. Selon les enquêteurs, il existe deux pistes plausibles quant à la fuite du veilleur de nuit :

En vain : Jean-Baptiste Hennequin est toujours insaisissable, malgré un mandat d’arrêt mondial visant la France et le Royaume-Uni. Mais le 22 mai 1997, à 9 heures du matin, le gérant de l’hôtel du 23 rue des Messageries (aujourd’hui Hôtel Paris Lafayette), en activité depuis 2007, contacte le commissariat de la porte Saint-Denis pour signaler la disparition de la recette de son établissement.

De son point de vue, un client était responsable de l’acte. Les flics parisiens commencent à fouiller dans chaque objet à leur arrivée. Curieusement, alors qu’ils s’approchent de la chambre d’un certain « M. Jean Dampierre », visiblement étouffé par l’incendie de sa chambre, ils trouvent une arme semi-automatique22. Tout tournait autour du « triple meurtre au Grand Hôtel » qui avait eu lieu. survenus à Saint-Quentin quelques mois plus tôt : explosifs scientifiques Long Rifle, munitions et extraits d’actualités.

En affirmant qu’il n’est pas “pas du style à se laisser faire” après avoir été agressé, “Dampierre” explique pourquoi il dispose d’un stock de munitions et d’armes dans sa chambre. Même si les militaires ne sont pas tout à fait convaincus par cette longue défense, ils parviennent néanmoins à l’appréhender à l’aide d’un carton orange.

Lieu du procès de Jean-Baptiste Hennequin : Palais de Justice de Laon 2. Au premier jour de son interrogatoire préliminaire, l’accusé refuse d’évoquer son enfance ou son passé, tout comme l’ont fait pour lui les psychiatres qui ont examiné Hennequin depuis son arrestation. .

Son épouse et ses enfants lui ont également refusé l’assistance lors de son procès. Il semble que Hennequin soit dépeint comme un homme indépendant et dictatorial qui déteste les manigances en général et combat les critiques à tout prix. A vrai dire, c’est toujours lui qui entame le processus de rupture de son contrat de travail, ce qui expose son instabilité professionnelle.

Pourtant, plusieurs collègues de Jean-Baptiste Hennequin s’accordent à dire qu’il a fait un travail fantastique, qu’il était minutieux, raffiné, bien pitché, voire même agréable, joyeux et chaleureux. L’enquête établit qu’il avait un casier judiciaire : il fut arrêté à deux reprises en 1967 pour tentative de meurtre de sa femme dans une voiture et condamné à trois ans de prison par le tribunal correctionnel de Laon ; et encore en 1985 pour avoir tiré un revolver sur un arbre à Boulogne (lequel a perdu un oeil) et condamné à trois ans de prison (ferme comprise) par le tribunal de grande instance de Paris.

Le deuxième jour

le matin pour profiter de ses services, armé d’un scalpel Leborgne et d’une lance, le voilà. Après les avoir interpellés, Léo Roupioz a refusé de donner son nom. Par la suite, Jean-Baptiste Hennequin l’a frappée à plusieurs reprises avec une hachette avant de courir vers les toilettes, où Gisèle Kunstler s’était réfugiée, la poussant contre le lit avant de la frapper d’une balle derrière l’oreille gauche et de multiples coups de hachette dans la poitrine.

Actuellement administrateur de la ville de Paris, Jean-Baptiste Hennequin est également secrétaire général des missions et des partenariats. Ses fonctions antérieures incluent celles de secrétaire général de l’École supérieure de physique et de chimie industrielle (ESPCI) Paris, de directeur de

De 2013 à 2019, puis de 2010 à 2016, en tant que directeur du fonds ESPCI. Son expérience antérieure comprend les fonctions de conseiller économique de Christian Sauter à la Mairie de Paris de 2002 à 2011 et de directeur de cabinet de l’adjoint à l’innovation et à la recherche (2008-2011).

Au début de sa carrière, il travaille pour René Monory au conseil général de Vienne, puis au conseil régional d’Île-de-France, où il supervise la mission recherche et informatique. Il a en revanche écrit « Machiavel pour mon fils » pour l’édition 2016 d’Actes Sud.

Après avoir repositionné la Fondation il y a un an, Bruno Sportisse, Président de la Fondation Inria et PDG d’Inria, a déclaré : Salut Inria, je suis ravi que Jean-Baptiste Hennequin soit de retour parmi nous aujourd’hui. Dans la continuité du nouveau contrat quadriennal de performance et d’objectifs d’Inria, l’action de la fondation vise à récolter 75 millions d’euros d’ici 2023 pour soutenir les projets de recherche et d’innovation portés par Inria, en faveur d’une société durable, solidaire et civique et, plus généralement, de tous. des initiatives qui veulent donner du sens au numérique.

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