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Fabienne Chauviere Maladie
Fabienne Chauviere Maladie

Fabienne Chauviere Maladie – Le blob, le pauvre, est isolé dans une boîte sans nourriture lors de la première. Nous observerons sa stratégie de navigation pour trouver de la nourriture en la révélant avec de l’eau ; après tout, le blob est doué pour optimiser ses itinéraires. La seconde consiste à observer le système veineux du blob en lui mettant en contact avec quatre flocons d’avoine, sa nourriture préférée.

L’objectif est de déterminer si c’est possible en plein air, en espace, en trois dimensions. Il est donc concevable que le blob contienne de petites structures 3D comme des pilotis. Les blobs sont des champignons et des bactéries. Ils nourrissent les plantes en agrandissant le sol avec les sous-produits de leur digestion. Ils jouent donc un rôle crucial dans le développement de la nature et des plantes.

Nous ne savons pas si les blobs sont menacés ou non, mais ils sont confrontés aux menaces de déforestation et de changement climatique, et peu d’études ont été réalisées à leur sujet. Lorsque les températures dépassent 29 degrés Celsius (quand ils ne sont pas en état de dormance), leur environnement disparaît et ils meurent.

De plus, nous avons constaté que les blobs sont sensibles à la pollution ; une de nos études récentes montre que les nanotubes de carbone affectent leur comportement. Êtes-vous en train de dire que nous pouvons tous avoir un blob ou un conseil si nous le désirons Dans mon tutoriel YouTube intitulé “Votre Blob de départ”, j’explique comment en choisir un par vous-même et je vous invite à le regarder.

C’est simple, mais il faut veiller à ne pas les contaminer par nourrir à excessivement.L’intelligence vivante Avec des textes du mycologue Marc-André Selosseesé, de la spécialiste des céphalopodes Laure Bonnaud Ponticelli et de Fabienne Chauvière, cinq scientifiques retournent sur leurs terrains d’origine.

Patrice Debréest, immunologiste, François Bouteau, écophysiologiste, Audrey Dussutour, biologiste au Centre de recherche sur la cognition animale de l’Université Paul Sabatier de Toulouse, Guilhem Lesaffre et Maxime Zuccas, ornithologues très expert en biomimétique, et Loïc Bollache, professeur d’ééologie aux Éditions Flammarion, complètent le groupe.

Lundi, Thierry PauLIN, l’assassin présumé des vieilles dames, est décédé d’une toxoplasmose qui était une complication ultérieure du SIDA dont il souffrait. Après avoir passé un mois au service de rééducation des maladies infectieuses de l’hôpital Claude Bernard, il a réintégré la semaine dernière le service de réanimation de l’hôpital pénitentiaire.Remarques sur les images d’archives.

Aujourd’hui marque le 80ème anniversaire de l’ancien président de la République, Jacques CHIRAC. Des photos de Jacques CHIRAC dans une voiture accompagnent dans le journal des interviews de sa fille Claude CHIRAC, de Jean-Louis DEBRE d’Europe1 discutant de la santé de Jacques et de Fréderic SALAT-BAROUX, le parrain de Jacques. L’animatrice de radio Fabienne Chauvière était appréciée de beaucoup de France Inter. auditeurs.

C’est “Les savanturiers”, son émission de vulgarisation scientifique, qui a vraiment marqué ses téléspectateurs. Elle est décédée à l’âge de 64 ans, mais son amour pour la radio était là depuis qu’elle était petite. La radio lui a donné une porte d’entrée dans la vie parisienne à laquelle elle ne participait pas ; elle est originaire du Mans. Experte en matière d’agroalimentaire, d’énergie et d’espace, Fabienne Chauvière est décédée récemment.

Plusieurs de ses spectacles l’ont amenée à collaborer avec Marie-Laure Veyret. “Tous terrains”, Osmose” et “Tout s’explique” ne sont que quelques-unes des présentations solos qu’elle a animées. Elle a également été mise en vedette dans sa série “J’ai rendez-vous avec vous” de 2000, basée sur Georges Brassens. Dans son émission “Les savanturiers”, Fabienne Chauvière a exploré un large éventail de sujets scientifiques tout en partageant sa curiosité communicative.

Elle a abordé des sujets comme la recherche sur les oiseaux avec un ornithologue, les effets de l’alimentation sur le cerveau avec un neurobiologiste ou encore comment éviter les piqûres de moustiques. Derrière le micro, Fabienne Chauvière se sentait parfaitement à l’aise et adorait raconter des histoires à son public. Elle adorait pouvoir s’adresser personnellement à chaque auditeur à travers la radio.

Son approche chaleureuse et son amour de la création à travers ses émissions ont marqué les radios françaises, et on se souviendra d’elle comme d’une animatrice dévouée et passionnée. Elle racontait des histoires et disait “se sentir bien derrière un micro”. C’est notamment l’émission de vulgarisation scientifique “Savanturiers” de l’animateur de 64 ans qui a attiré son attention.

Le samedi 17 février 2024, Fabienne Chauvière sera mise à l’honneur pendant deux heures par la radio publique. Le 11 février, à l’âge de 64 ans, la journaliste et animatrice emblématique de l’émission scientifique “Les Savanturiers”, originaire du Mans, est décédée. Elle a confié à nos confrères de Télérama qu’elle avait grandi près du Mans, loin de la radio et de la vie parisienne.

Fabienne Chauviere Maladie

Cet être vivant unicellulaire appartient au royaume Amibozara, qui existait avant la séparation des champignons et des animaux. Le nom latin de ce que j’appelle un « blob » est Physarum polycephalum. En raison de son besoin absolu en eau, il vit dans les zones humides et ombragées des forêts tempérées.

Est-il donc possible de trouver Physarum polycephalum dans les forêts françaises ?

Il est certes possible de le trouver, mais il ne s’agit pas de l’espèce de myxomycètes la plus répandue dans nos régions, classe à laquelle appartient le blob. D’autres espèces de Myxomycètes seront plus communes en France. Il existe à ce jour plus d’un millier d’espèces de myxomycètes, et leur nombre est estimé à plus de 10 000.

Physarum polycephalum, Physarum roseum (la version blob rouge) et Badhamia utricularis (une version orange) sont les trois espèces avec lesquelles je travaille dans mon laboratoire.
Vous expliquez que le blob peut apprendre dans votre livre “L’intelligence du vivant” : comment
Si le blob n’est en réalité qu’une cellule sans cervelle, il peut néanmoins apprendre de nouvelles choses.

Les choses qu’il n’aime pas, comme la lumière ou certaines substances chimiques, il apprend à les ignorer. D’après ce que nous avons vu, le blob est capable de tolérer des choses qu’il n’aime pas particulièrement. Nous le mettons à l’épreuve avec de la caféine, de la quinine (le produit chimique qui donne sa saveur à Schweppes) et du sel, que le blob n’aime pas.

Nous avons constaté que le blob peut apprendre à tolérer ces toxines. De plus, il peut fusionner avec ses congénères pour transférer les informations apprises à d’autres. La mémoire est mise à jour en fusionnant des blobs génétiquement identiques qui circulent à travers leur réseau de vingt-quatre. Il peut se déplacer grâce à ce dernier système, le moteur.

Cependant, comment le blob saute-t-il ?

Comme les vagues, il avance et recule un peu.Il pousse le liquide intracellulaire contre la membrane cellulaire qui avance en réponse, via ses contractions. Se dirige dans la direction choisie. Le matériel appris se déplace constamment dans le système veineux ; si elle est placée dans un état dormant, cette mémoire peut être conservée pendant un certain temps à l’intérieur du blob.

Le blob passe en mode hibernation lorsque les conditions environnementales se détériorent. Puis il apparaît soudain très pâle. Cet état de dormance peut persister plusieurs années. Sous cette forme, le blob est très résistant. Après que la goutte ait été révélée par une petite quantité d’eau, nous avons démontré que les informations mémorisées pouvaient être réactivées. Il se rendra à la Station spatiale internationale dans cet état.

Qu’est-ce que cela signifie pour notre compréhension actuelle de l’intelligence animale ? Faut-il réévaluer l’importance que nous accordons au cerveau dans nos théories de l’intelligence ? En fait, ces découvertes repoussent les limites de l’intelligence, mais la mesure dans laquelle vous poussez cet argument dépend des critères que vous utilisez pour définir l’intelligence.

Nous la définissons comme la capacité à résoudre des problèmes, et dans ce domaine, le blob peut faire preuve d’une certaine intelligence. Nous allons parler de proto-intelligence sans hésiter. Objet optimiser son régime alimentaire, apprendre, mémoriser, trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe. De cette façon, il a pu optimiser les distances entre plusieurs points.

Même sans système nerveux ni cerveau, un être unicellulaire peut résoudre des problèmes qui nous paraissent compliqués. Pouvez-vous nous en dire plus sur les autres actualités du blob ? Il s’agit de son prochain voyage sur la Station spatiale internationale avec le géophysicien Thomas Pesquet.

Il s’agit avant tout d’un projet pédagogique dont le but est de faire découvrir la biodiversité aux étudiants tout en les incitant à poursuivre des carrières scientifiques. Certains iront dans l’espace avec Thomas Pesquet, tandis que d’autres seront envoyés dans les écoles qui en auront fait la demande auprès du CNES. Thomas Pesquet et les enfants pourront ainsi vivre la même expérience.

Pendant que les enfants y travailleront sur Terre, Thomas Pesquet le fera en orbite, et ils pourront ensuite comparer leurs résultats. Jusqu’à très récemment, le grand public n’avait aucune idée de ce qu’était un blob. Il présente néanmoins l’avantage d’être un organisme que les enfants peuvent facilement saisir et avec lequel jouer.

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