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Bérenger Brouns Sortie
Bérenger Brouns Sortie

Bérenger Brouns Sortie – Des assassinats surviennent en février 2005 sur Christelle Leroy et son fils Lucas. Le véritable sponsor et amant du défunt se cache derrière ce double meurtre.
L’homme est inquiet et affirme que Christelle n’est pas allée travailler à la fin du fil.

La vérité sur cette absence est connue de l’homme, même s’il paraît choqué. Il y a un an, Béranger Brouns, marié et père de trois enfants, entamait une liaison avec l’une de ses employées. Pire encore, c’est lui qui est responsable du meurtre de la jeune femme et de son enfant de 4 ans, Lucas. Il les a tous deux découpés, mis dans des sacs en plastique et cachés dans diverses poubelles de la ville.

Le crime est pratiquement sans faute. Dans leur poursuite de Christelle et Lucas, les enquêteurs sont arrivés à une conclusion surprenante et troublante, mais les éléments de preuve qui leur permettent d’imaginer leur mort sont extrêmement inhabituels.

Ni le domicile des victimes ni la cuisine de la charcuterie ne présentaient de traces de la présence du meurtrier Bérenger Brouns. Alors qu’il est en garde à vue, les enquêteurs utilisent la seule preuve dont ils disposent contre lui, un acte de naissance qui ne correspond pas au travail qu’il exerçait, pour porter plainte, même si cela est loin d’être concluant. Bérenger Brouns ne recherche plus de défiler à partir de ce moment. Sans hésiter, il avoue tout et attend la sentence.

Dans l’épisode spécifique de Voix du Crime, l’avocat de Bérenger Brouns, Me Jean-Marc Fedida, souligne la normalité de son client. En effet, le procès tentera d’élucider cette question même.
Psychologues et psychiatres s’accordent à dire que Béranger Brouns est un homme normal, moyen. La défense a décidé de jouer la carte du « crime passionnel ». Un jury l’a déclaré coupable et l’a condamné à 30 ans de prison sans possibilité de libération conditionnelle, un verdict qui n’a pas impressionné.

Mardi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné Bérenger Brouns, un charcutier parisien qui avait étranglé sa maîtresse et son fils avant de les démembrer pour les faire disparaître, à trente ans de prison pour crime.

L’accusé, âgé de 43 ans et reconnu coupable du meurtre en 2005 de sa patronne Christelle Leroy, 26 ans, de son fils Lucas, 4 ans, et de leur chien, a été déclaré coupable par le tribunal présidé par Jean-Pierre. Getti après seulement deux heures et dix minutes de délibération.

Le charcutier, bien connu dans le 10e arrondissement de la capitale où il avait un commerce, avait nié avoir, la nuit qui a suivi le double meurtre, transporté les restes de la mère et de l’enfant dans son arrière-boutique, les avoir démembrés avec un couteau. , et dispersé les morceaux dans les pizzerias du quartier. Personne ne les a jamais trouvés.

“Je saisis le chagrin et la douleur que j’ai provoqué”, a ajouté l’accusé, poursuivant sa déclaration dans les formes prescrites par le code de procédure pénale. Au cours de ce procès qui s’est ouvert vendredi, les sœurs et la mère de Christelle Leroy ont souvent fondu en larmes, notamment lorsque le tribunal s’est penché sur les détails du drame ou lorsque les discussions ont évoqué le cas du petit Lucas, qui était étranglé quelques minutes seulement après sa mère.

Brouns a de grandes chances car s’il avait été jugé il y a cinquante ans, il aurait été condamné à mort et exécuté. A la suite de cette plainte, le procureur général François-Louis Coste a requis la peine maximale prévue par le code pénal, à savoir la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle.

Selon l’avocat de l’accusé, “C’est un acte fou” que Bérenger Brouns a utilisé pour ruiner la vie de Christelle Leroy et celle de Lucas, son fils issu d’une précédente relation avec elle. Mais il a insisté auprès des jurés sur le fait qu’il s’agissait d’une mauvaise action commise par une personne « normale » comme vous et moi. Mardi, les psychiatres et psychothérapeutes interrogés par le tribunal ont décrit un “Monsieur tout le monde” qui “a perdu ses repères de conscience” en faisant le numéro de scène.

Bérenger Brouns Sortie

Pendant une heure et demie, Me Jean-Marc Fedida a pris la défense de son client, affirmant que les crimes avaient été commis sous le coup de la passion. Christiane Leroy, une vendeuse qu’il avait embauchée en février 2004, est tombée éperdument amoureuse de Bérenger Brouns, un homme marié de vingt ans et père de deux filles.

Leur relation d’un an, selon les témoignages recueillis au procès, a connu un parcours mouvementé marqué par des ruptures et des crises. Il n’y a pas « d’autre élément que la passion » dans ce dossier pour Me Fedida.

“Aujourd’hui, il est conscient de sa responsabilité, il passe à l’action”, a souligné Me Fedida. La cour d’appel a donné dix jours à Bérenger Brouns pour faire appel de la sentence. Cette affaire prend racine le 22 février 2005, à la résidence de Liliane Leroy. Liliane a commencé à se sentir de plus en plus anxieuse lorsqu’elle n’a eu aucune nouvelle de sa fille Christelle Leroy, 26 ans, et de son fils Lucas, 4 ans, qui devaient lui rendre visite dans l’après-midi.

Son ex-amant, le père de Lucas, l’appelle à ce moment-là. Alors que Christelle et Lucas étaient censés assister à un anniversaire deux jours plus tôt, ils ne se sont jamais présentés. Cela rend Lui inquiet de ne pas pouvoir épouser Christelle.

Les flics se montrent rassurants : Christelle ne devrait pas être loin…, alors Liliane se rend au commissariat pour mettre la main dessus. Le lendemain, ce sera à Élodie Leroy, la sœur de Christelle, d’entendre sonner son téléphone. Au bout du fil, le père et amant de Christelle, Bérenger Brouns, s’indigne de son absence.

La mère de Christelle s’adresse aux médias en l’absence de réponse de la police. Nicolas Deliez, journaliste au magazine Le Nouveau Détective, accepte de prendre l’enquête en main après sa rencontre. Le journaliste fait une découverte inquiétante au domicile de la jeune femme : du sang sur le paillasson.

Bérenger Brouns est l’une des dernières personnes à avoir vu Christelle vivante, c’est pourquoi la brigade de recherche et de secours s’est mobilisée pour l’interroger. Le charcutier-traiteur du marché Saint Martin, calme mais inquiet de la disparition de son collègue, explique avoir parlé pour la dernière fois à Christelle le 22 février à 14h00. Tant que la brigade criminelle n’intervient pas, rien ne peut être fait pour l’impliquer.

Un empathe qui «brûlait de passion»

D’après les relevés téléphoniques de la jeune fille, son père, Bérenger Brouns, l’a appelée à 22h16 le jour de sa disparition. De plus, ils retrouvent les affaires de Christelle au hangar du Marché Saint-Martin, ainsi qu’un document précisant que la jeune femme avait rendez-vous avec son gynécologue fin février.

Bérenger Brouns, placé en observation, finit par briser le silence. Il avoue être l’amant de Christelle et qu’il l’a étranglée le 20 février 2005, après qu’elle lui ait annoncé qu’elle allait le quitter pour s’occuper du bébé qu’elle portait. Afin d’éviter tout témoin, explique-t-il, il a étranglé le petit Lucas, et il a été gêné par la chienne de la famille, Mabelle, un cocker.

Mais l’horreur ne s’arrête pas là. Suite aux meurtres, le boucher raconte comment il a placé les corps dans sa butte arrière afin de les démembrer. Après cela, il trempait des morceaux de viande dans des huîtres sélectionnées au hasard, faisait disparaître les deux têtes dans du ciment rapide, puis les jetait parmi les huîtres du marché.

Un crime passionnel, selon l’avocat de Brouns, qui affirmera qu’il “brûlait de passion pour Christelle”, mais un acte inhumain et presque parfait.Après avoir été reconnu coupable par le tribunal le 27 février 2007, Bérenger Brouns a purgé 30 ans de prison sans possibilité de libération conditionnelle. Aujourd’hui encore, le boucher du Marché Saint-Martin est toujours marié à sa femme et incarcéré.

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