Bakary Samaké Wikipedia – Bakary Samaké, ancien résident luxembourgeois et boxeur français, est né à Aubervilliers. Une technique hors du commun serait possédée par Bakary Samaké, qui mesure 1m81 et pèse 69 kg.
La boxe est une tradition héréditaire de plusieurs générations dans sa famille. Tous les membres de sa famille, y compris son père, Issa, son grand-père et son grand-oncle, étaient de sérieux boxeurs. Ses deux parents étaient champions nationaux : son petit-oncle dans sa catégorie et son père en français junior et cadet.
À l’âge de huit ans, Bakary a commencé la boxe après s’être essayé au basket-ball, au football, à la natation et au hockey sur glace. Elle débute la boxe au club de Noisy-le-Grand en Seine-Saint-Denis sous les encouragements de son père, lui-même ancien combattant amateur.
“Je n’étais pas très sociable en tant qu’enfant”, rappelle-t-il, “puis que je me suis familiarisé avec ce sport.” Il y avait une super ambiance entre les autres enfants du club et nous nous encourageions mutuellement. Participant à de nombreux combats éducatifs a permis de me perfectionner.
Après avoir terminé sa première année de lycée, Bakary décide de suspendre ses études pour se concentrer sur sa carrière de boxeur. Il trouve sa voix et son vernis sur le ring, où il s’épanouit en un interprète talentueux. Il a un palmarès impressionnant et gravit les échelons de l’entreprise avec confiance. “J’ai vite goûté aux sensations procurées par l’être sur un ring”, ajoute-t-il, “le dialogue avec le public lorsque tu bouges, que tu esquives.” En tant que sport, la boxe nécessite du spectacle.
En plus de captiver le public, Bakary brille sur le terrain en remportant les titres de France Minis et Cadets. Fort du soutien de son père et d’un record de 25 victoires en 30 combats amateurs, il décide de passer pro dès l’âge de 17 ans. La familia a décidé de s’exiler parce qu’elles n’étaient pas autorisées à combattre à ce niveau en France qu’elles étaient mineures. Le prodige continue à croître en attaquant des objectifs.
Il débute sa carrière de combattant professionnel au Luxembourg et en Belgique, où il affronte régulièrement des adversaires plus forts. En novembre dernier, il avait remporté le titre luxembourgeois des super-welters (-69 kg) après sa première défaite. Ses étapes éveillent l’intérêt et la fascination.
Si l’objectif à long terme de Bakary est de devenir champion du monde, son objectif à court terme est d’acquérir le plus d’expérience possible. Après avoir battu Gyorgy Mizsei par KO lors de son sixième combat professionnel en 2021, Samake devient champion du Luxembourg.
Il bat l’Argentin Lucas Bastida lors d’un combat en 2023 à l’âge de 19 ans pour devenir le plus jeune champion du monde dans la division masculine de moins de 25 ans, pesant moins de 69 kg. Le boxeur Precoce Bakary Samaké est devenu professionnel à l’âge de 17 ans. En descendant l’échelle de sa catégorie, il croise le regard de son père. Son premier titre mondial lui est paru ce samedi, le 18 mars. Issu d’une longue lignée de boxeurs, c’est une opportunité en or pour le jeune Seine-Saint-Denis.
A 19 ans, l’Auvervilliers devrait lutter pour son premier titre mondial. L’Argentin Lucas Brian Ariel Bastida sera son adversaire le 18 mars à Gagny, dans son département de Seine-Saint-Denis. En jeu, la ceinture du champion du monde des moins de 25 ans dans la division superwelters, qui regroupe les boxeurs pesant de 66 à 69 kilos. Une étape supplémentaire pour le jeune prodige qui suit les traces de son grand-père et de son père, formé dès son plus jeune âge.
Samedi dernier, le jeune boxeur avait terminé la marche. Son championnat des super-welters « IBF Youth » fait de lui le plus jeune champion de l’histoire du monde. Décrocher le titre mondial dans ma ville natale après des mois d’entraînement et de sacrifices est un incroyable sentiment de fierté. C’est un pas dans la bonne direction vers mon objectif ultime. “Je veux remercier mon équipe et la Ville de Gagny pour leur soutien inconditionnel”, a-t-il répondu. Une affaire de famille : la boxeCette pratique sportive est vénus dans la famille.
Bakary Samaké se fait une bonne adepte de la méthode. J’aimais tellement m’entraîner que c’était mon activité préférée sur le ring. Dans sa ville natale de Torcy, le mystérieux individu révèle : “J’étais là dès la fin des cours”. Dès l’âge de 13 ans, j’ai commencé la boxe en amateur et j’ai remporté la majorité de mes combats jusqu’à l’âge de dix-sept ans.
Il travaille à améliorer son métier en attendant la supervision de son père. Cela conduit au développement d’une relation unique entre les deux hommes. Chaque fois qu’il est sur le ring, je dois lui faire confiance tout en soulignant ses erreurs. Tout le monde arrête de parler de boxe quand il rentre à la maison. Son père lui a dit que trouver cet équilibre est crucial, mais pas facile.
De plus, il croit que tout entraîneur « doit traiter son boxeur comme son propre fils ». L’athlète et son entraîneur, Bakary et Issa Samaké, forment un duo père-fils. Trois individus, dont un père et son fils, Bakary et Issa Samaké, un boxeur et son entraîneur, et Dahos.
Ce sport m’a apporté un cadre de vie saine”
Au-delà même des bienfaits sportifs les plus évidents, la boxe a aidé Bakary à se fixer un cadre de vie et à éviter certaines dérives. Dans ma vie quotidienne, Céleste a apporté de la discipline. Une grande partie de ce que je sais sur la gestion du temps et l’effort physique, je l’ai appris sur le ring. Je ne pourrais pas fonctionner sans ces dossiers. Pour Gagny, « certaines gens de mon quartier n’ont pas eu cette chance et certaines d’entre eux sont tombées dans la drogue et la violence ». Il l’a admis, le résident de longue durée.
Quand il pense à la boîte, il y voit un problème et une liberté. La même chose avait été faite par son grand-père quelques décennies auparavant. À son arrivée en France, mon père était l’une des premières personnes d’ascendance africaine. Son fils, formé auprès de professionnels, a pu s’intégrer ici, raconte-t-il.
Un boxeur professionnel de onze ans
Ayant passé du temps sur le ring avec son père, Bakary n’avait aucun regret en tant que jeune homme. Malgré cela, il est conscient que cet engagement exige beaucoup de sa part. Issa Samaké ne cesse de l’encourager en son mais de devenir un boxeur professionnel. “On voulait que le niveau amateur ne soit qu’une passerelle vers le monde professionnel, on l’a toujours conditionné pour arriver tôt dans ce milieu.” Tout s’est bien passé pour le jeune athlète et son équipage. Même s’il n’a que 17 ans, il tient son premier rendez-vous professionnel en juin 2021.
Cela était lié à deux choses. Tant physiquement que mentalement, nous nous sentons prêts à commencer avec lui. “On ne voulait pas ralentir son développement” suite à une longue interruption de la boxe anglaise en raison de la crise du COVID, comme le raconte son père.
Son fils et lui ne veulent pas perdre de temps, alors il quitte la boxe professionnelle pour concourir sur le ring olympique amateur. Le problème est qu’en France, les athlètes de compétition ne sont autorisés à participer à des épreuves amateurs qu’à partir de 18 ans.
Il se prépare donc pour ses premiers combats en Belgique ou peut-être au Luxembourg. J’ai séquencé les combats et les entraînements ; tout s’est passé si vite. Il était immense. J’ai dit oui parce que je me sentais prêt et je voulais que tout ce que mon père et ma famille avaient fait porte ses fruits.
Commencer une carrière sportive professionnelle nécessite un diplôme d’études secondaires et une note de passage. Une fois qu’il a réussi, il s’est entièrement consacré à un maintien de l’ordre.Après avoir remporté ses premiers combats de boxe sous la tutelle de son père, il devient rapidement une référence dans sa catégorie.
Suite à son sixième combat, il commence à lutter pour le titre de champion du Luxembourg. Une nouvelle fois, il impose sa volonté par KO en moins de 2 minutes et 40 secondes. Je suis habitué à résister lorsque soumis à des restrictions. Avoir des spectateurs à mes combats depuis que je suis tiny ne me terrifiant pas.
Des objectifs nobles et inspirants sont défendus par certains membres du clan Samaké. Bakary admire les grands de la boxe comme Floyd Mayweather, qui n’a jamais perdu un combat depuis cinquante ans, et espère suivre ses traces et devenir champion du monde. Actuellement, le surdoué de 19 ans affiche un bilan parfait de 10 combats sans défaite, dont 6 victoires KO.
Pour lui et sa famille, il ne s’agit pas de lutter contre les incendies. Alors qu’ils entrent dans leur 22e année, les Championnats du monde destinés aux coureurs de moins de 25 ans pourraient constituer une excellente rampe de lancement pour une future course au titre mondial. Issu de son public, il espère « faire le spectacle et rendre fièrement » toute sa famille.